27 documents trouvés
Gouvernement du Québec. Politique d’intervention en matière de violence conjugale: prévenir, dépister, contrer la violence conjugale. Les Publications du Québec, 1995.
Gouvernement du Québec. Loi sur la protection de la jeunesse, 1977.
Table de Concertation en violence conjugale de Montréal. Protocole de collaboration intersectorielle pour les enfants exposés à la Violence conjugale, 2010.
Table de Concertation en violence conjugale de Montréal. Protocol for intersectoral collaboration for children exposed to conjugal violence, 2010.
Alison Cunningham et Lynda Stevens. Pour aider un enfant témoin: 101 choses pour savoir, dire et faire. Centre des enfants, des familles et le système de justice, London Family Court Clinic, Ontario 2007.
Alison Cunningham and Lynda Stevens. Helping a child be a witness in court: 101 things to know, say and do. A Helping Hands Guide on Skill Building and Tools for Helpers and Healers. for Children & Families in the Justice, London Family Court Clinic, 2011.
Alison Cunningham et Pamela Hurley. Un récit complet et franc. Les enfants et les ados qui témoignent dans des cas de violence conjugale. Recours à des arrangements spéciaux et aux aides au témoignage pour faciliter le témoignage des enfants. Centre des enfants, des familles et le système de justice, London Family Court Clinic, Ontario 2007.
Géneviève Lessard. Résolution des controverses entourant la garde des enfants en situation de concomitance de violence conjugale et mauvais traitements envers les enfants: recherche-action orientée vers le développement de la concertation dans la région de Québec. Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes. Collection Études et Analyses, Numéro 43, avril 2011.
Renee DeBoard-Lucas, Kate Wasserman, Betsy McAlister Groves, Megan Bair-Merritt. 16 Trauma-Informed, Evidence-Based Recommendations for Advocates Working with Children Exposed to Intimate Partner Violence, Futures without Violence 2013.
Bureau international des droits des enfants. L’Étude sur la mise en œuvre des Lignes directrices en matière de justice pour les enfants victimes et témoins d’actes criminels, Québec, 2011.
Gouvernement du Canada Bureau de l’ombudsman fédéral des victimes d’actes criminels. Faire avancer le débat Un forum pour les victimes, les défenseurs des droits des victimes et les organismes de services aux victimes, 2013.
Peter G. Jaffe, Claire V. Crooks, Nick Bala, Department of justice Canada, Research and Statistics Division. Making Appropriate Parenting Arrangements in Family Violence Cases : Applying the Literature to Identify Promising Practices Family, Children and Youth Section, Research Report , 2005 — FCY-3E.
Peter G. Jaffe, Claire V. Crooks, Nick Bala, Section de la famille, des enfants et des adolescents, ministère de la Justice du Canada. Conclure les bonnes ententes parentales dans les cas de violence familiale: recherche dans la documentation pour déterminer les pratiques prometteuses Section de la famille, des enfants et des adolescents Rapport de recherche, 2005 — FCY-3F.
Protocole conclu entre le SPVM, les maisons d’hébergement, Côté Cour, CAVAC et l'IVAC permettant aux victimes de violence conjugale de bénéficier gratuitement d’un système d’alarme et d’un bouton panique raccordés directement (optionnel) à une centrale de surveillance.
Formulaire d’autorisation – protocole d’entente IS
Protocole conclu entre le SPVM, les maisons d’hébergement ou d’autres organismes œuvrant dans le domaine de la violence conjugale établissant des mesures sécuritaires lors de la récupération des biens personnels de la victime au domicile conjugal.
Guide d'utilisation du formulaire
Lorsque l'accompagnement est autorisé par l'organisme référent :
L'intervenante et la personne qu'elle accompagne doivent :
Lorsque l'accompagnement est jugé trop risqué et n'est pas autorisé par l'organisme référent
Sur réception de ce formulaire, le SPVM
SOS violence conjugale, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et 20 Maisons d’hébergement de Montréal ont signé un protocole leur permettant une collaboration dynamique et efficace en matière de disparition.
Ce protocole permet de mettre fin aux recherches policières lorsqu’une femme portée disparue a trouvé refuge dans une Maison, et ce, tout en assurant la confidentialité du lieu d'hébergement puisque le protocole ne permet ni à SOS violence conjugale ni au SPVM de savoir où la victime est hébergée.
Protocole de collaboraton en matière de disparitions
Pour plus d’information :
Joane Turgeon
Directrice générale
SOS violence conjugale
514-728-0023
Protocole de nature clinique conclu entre les maisons d’hébergement, les organismes oeuvrant auprès des conjoints violents, le Centre jeunesse de Montréal, le Centre de la jeunesse et de la famille Batshaw, le SPVM, Côté Cour et les CSSS et visant le dépistage, la référence et l’offre de services adaptés et spécifiques aux enfants exposés à la violence conjugale. Consultez la boîte à outils pour en savoir davantage.
Protocole de collaboration intersectorielle pour les enfants exposés à la violence conjugale
Discussion entre deux ou plusieurs partenaires concernant la situation personnelle ou familiale d’une cliente ou d’un client et permettant de recueillir des informations factuelles, de connaître les services disponibles, de préciser une intervention, d’évaluer une situation, de déterminer une orientation, d’actualiser un plan d’intervention ou d’élaborer des plans de services individualisé, etc. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
En vue d’assurer l’accès et la continuité d’intervention auprès des enfants exposés à la violence conjugale, prendre contact avec un autre partenaire pour solliciter des services complémentaires ou supplémentaires. L’organisme demandeur peut demeurer saisi du dossier. Le demandeur peut conserver une responsabilité clinique dans le dossier. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
Modalités :
En vue d’assurer l’accès et la continuité d’intervention auprès des enfants exposés à la violence conjugale, prendre contact avec un autre partenaire pour solliciter des services complémentaires ou supplémentaires. L’organisme demandeur n’est plus saisi du dossier. Le demandeur ne conserve pas de responsabilité clinique dans le dossier. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
En vue d’assurer la continuité des services pour les enfants exposés à la violence conjugale et leurs familles, favoriser la communication et la transmission d’informations pertinentes entre les intervenantes et intervenants impliqués. La collaboration entre les partenaires devrait permettre des échanges cliniques visant l’amélioration des services offerts aux familles aux prises avec la violence conjugale. Lorsque jugées à propos, la présence et la participation de la cliente ou du client sont favorisées.
Des plans de services individualisés peuvent aussi être élaborés par les partenaires impliqués en vue de coordonner et d’harmoniser les interventions. Ceux-ci peuvent être modifiés en tout temps pour tenir compte de circonstances nouvelles. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire pour chacun des partenaires.
Dès que plus d’un partenaire est impliqué, les échanges cliniques sont recommandés. Ceci devient une stratégie d’intervention supplémentaire. Ces échanges doivent se dérouler dans la confidentialité et la sécurité des familles.