Notre organisme

Créée en 1986 à l’initiative du Service de police de la Communauté urbaine de Montréal (SPCUM), la Table de concertation en violence conjugale de Montréal (TCVCM) a comme principale raison d’être la concertation de tous les acteurs sociaux impliqués en violence conjugale sur le territoire de l’île de Montréal. Au cours des récentes années, la Table a soutenu ou initié des projets directement en lien avec les différentes politiques gouvernementales en matière de violence conjugale.

Ses diverses réalisations concernent autant la formation, l’organisation et la tenue de journées d’étude ou de colloques, la participation à l’élaboration de divers protocoles de référence et d’intervention, la coordination de projets pilotes, l’édition et la diffusion d’outils de sensibilisation que la participation à diverses recherches.

Les membres de la Table proviennent d’organismes communautaires et d’établissements de tous les secteurs concernés par la problématique de la violence conjugale : organismes pour femmes violentées, organismes pour conjoints violents, organismes intervenant auprès des clientèles vivant des réalités particulières, organismes ethnoculturels, organismes de défense collective des droits de même que les secteurs de la santé et des services sociaux, de la justice, de la sécurité publique, de la formation et recherche et de l’éducation.

Mission

La TCVCM a comme mission de réunir et de mobiliser les différents acteurs en travaillant en partenariat et en concertation dans une démarche globale d’analyse, de prévention et d’action, qui vise la protection des femmes, des enfants, des autres victimes, des personnes plus vulnérables ou ayant des besoins particuliers, et la responsabilisation des personnes agresseures dans le but de contrer la violence conjugale et ses conséquences.

Vision

Exercer un leadership déterminant vers l’élimination de la violence conjugale.

Valeurs

L’engagement de chaque partenaire contribue à l’identification des causes de la problématique de la violence conjugale.

Ceci implique un respect mutuel des organismes et des intervenants œuvrant en violence conjugale, tout en reconnaissant l’expertise de chacun et en tenant compte des mandats et des missions qui peuvent différer d’une organisation à l’autre.

Les échanges sont réalisés en démontrant de l’ouverture à accueillir la différence des visions, des pratiques et des opinions de chacun.

Le climat est propice au partage d’expertise, de connaissances et de bonnes pratiques.